Château de Menessaire
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Château de Menessaire

Domaine de la Princesse Armoria, Duché de Saulieu
 
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 Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458)

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Armoria

Armoria


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Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458) Empty
MessageSujet: Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458)   Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458) Icon_minitimeMer 15 Sep 2010 - 16:48

Armoria de Mortain dit :
*Pressée de me confesser, mon père, parce qu'à force d'être pressée par mon devoir, je n'ai que trop repoussé ce moment... Aussi, le plus tôt sera le mieux, pour moi. Et navrée de ne vous avoir point reconnu *sourire piteux*

Baron Sengir dit :
*fort bien nous allons nous rendre de suite à l'église. Vous avez raison, nul besoin d'encore repousser l'échéance. Et ce n'est point grave, je n'ai fait qu'un trop court passage aux feudataires. sommes-nous prests à y aller?


Armoria de Mortain dit :
**se lève, heurtant son front du dos de sa main* Les Feudataires, doux Christos, mais oui ! *se tient prête à lui emboîter le pas*

Baron Sengir dit :
**sourit et sort dans le couloir, puis sur le perron du presbytère* je ferme à clef, mes diacres en ont des doubles. *le bel et blond mena la comt... la duch... l'institution royale incarnée vers l'église.* après vous ma fille


Armoria de Mortain dit :
**obéit avec une docilité qu'elle n'a pas en tant que femme d'Etat*

Baron Sengir dit :
**poussa les lourdes portes, qu'il referma après le passage de sa pénitente. nul n'était besoin d'allumer cierges, l'obscurité conviendrait parfaitement. le prestre se dirigea vers le confessionnal et repoussa la tenture, dévoilant place où elle pourrait s'asseoir*


Armoria de Mortain dit :
**prend place et guette les bruits qui lui indiqueront que son confesseur s'est assis lui aussi*

Baron Sengir dit :
**ferme la porte derrière la fidèle, rabat la tenture pour indiquer à tous que le confessionnal était occupé et s'installe à son tour. il ajuste le coussin qui lui rendrait assise plus confortable ; l'on ne savait jamais combien de temps une confession pouvait durer...*
*bien. ma fille, tout ce qui pourra estre dit icelieu sera garanti par le secret de la confession. seul moi mesme et le Très haut entendront tes paroles, l'aveu de tes fautes.


Armoria de Mortain dit :
**se signe et se lance* Pardonnez-moi, mon père, parce que j'ai péché

Baron Sengir dit :
**joint ses doigts et ferme les yeux* ma fille, tu es venue te confesser. je t'écoute


Armoria de Mortain dit :
*Mon père, j'ai été touchée par le sombre mal... Celui qui sème des graines de ténèbres dans le coeur, jusques à vous pousser dans la tombe à force de ne plus vouloir vivre
**frissonne* L'acédie, mon père, la terrible acédie a failli avoir raison de moi, et je la sens parfois rôder encore
*Et là où je suis encore plus en faute, c'est que jusques à récemment, je n'avais pas envie de la combattre

Baron Sengir dit :
**ouvre les yeux et regarde l'aristotélicienne à travers la grille* quelles sont les raisons de cette acédie? et quelles choses ont fait que tu as repris force et courage?


Armoria de Mortain dit :
*Les raisons... Je les ignore, et ne parviens qu'à supposer, mon père
*Toutes les pertes que j'ai subies, ceux qui m'attendent sur le Soleil, et dont sans doute j'envie la paix et le bonheur

Baron Sengir dit :
*j'ignore vos pertes et en suis navré. mais songez-vous qu'ils souhaitent vous voir perdre le goust à la vie? voire en arriver à oublier et négliger le Très haut? s'ils vous manquent, ne souhaitez-vous pas les rejoindre au Soleil? *prend voix docte* vous n'ignorez que le péché mène incontestablement à la Lune... Voulez-vous rejoindre les princes démons?


Armoria de Mortain dit :
*Dieu du Ciel, non !
**se récrie en se signant vivement*
*L'exemple de mes trépassés me guide, et mes vivants me retiennent... Mais le poids, mon père, le poids... *voix qui s'assourdit à la fin de la phrase*

Baron Sengir dit :
**se tait, afin qu'elle se reprenne. puis, d'une voix apaisante :* les responsabilités, les pertes, je n'ignore que cela peut faire sembler la vie insupportable... mais les vivants, le souvenirs des défunts, cela doit estre une force. puisez en vous, en vos amis, en la communauté aristotélicienne dont vous faites partie. vous n'estes point seule


Armoria de Mortain dit :
**sourit, rassérénée* Ma démission fut comme un printemps pour mon âme et mon esprit, mon père...

Baron Sengir dit :
*servir le Roy tant de temps vous honore. il est temps de penser à vous. une autre mission moins prenante, la cultivation de votre foy, ... entrevoyez vous jour nouveau?


Armoria de Mortain dit :
*Je dois - et pour moi c'est un luxe - prendre le temps de tout envisager

Baron Sengir dit :
*estes vous à nouveau sur le point de partir en mission?


Armoria de Mortain dit :
**sourire amusé* Lorsque l'on sert Dieu, son Roy et sa terre, il est ardu de ne point être en mission, mon père

Baron Sengir dit :
*je le conçois * pause* aujourd'hui, qu'en est il de cette acédie? souhaites tu la mort ou l'abandon de ton estre? ressens-tu indifférence envers la sainte église et le très haut?


Armoria de Mortain dit :
**voix qui se raffermit* Si je la souhaitais encore, mon père, vous auriez eu vent de mes funérailles... Et en faisant public aveu, je m'interdis de sombrer, puisque cela rejaillirait sur mon Roy

Baron Sengir dit :
**le blond opina du chef* gardez cela en esprit. ne sombrez dans l'acédie ou autre péché, car cela rejaillirait sur le Roy. mais aussi, le Très Haut en aurait conscience. et enfin, le plus important, vous en porteriez le poids en votre asme


Armoria de Mortain dit :
**doucement butée* Mon âme compte moins à mes yeux que ceux à qui je me dévoue, mon père... Parce que je sais qu'en agissant bien, elle sera sauvée. Je pense selon ce que l'on m'a enseigné du dogme, que mes actes ne sont point de nature à la mettre en danger
**avec de la tendresse dans la voix* Dieu m'a donné cette incroyable chance d'avoir de fort bons guides... Deux Saincts, ainsi que feu Jeandalf, feu Gedeon, et feu Tony de Clérel

Baron Sengir dit :
*je comprends. mais gare à ne pas pécher d'orgueil en affirmant n'avoir rien à redouter du jugement divin. *le bel et bon curé lissa ses blonds cheveux et reprit la parole* puis-je estre assuré que l'acédie qui a pris possession de ton asme, de ton esprit, de ta volonté, a été annihilé?


Armoria de Mortain dit :
*Je pense que le germe demeure, mon père, et je me dis que c'est aussi bien, tant que j'y veille... Parce que justement, l'orgueil ne saurait me toucher tant que je sais avoir une faille
**presque timidement* Ai-je tort de le voir ainsi ?

Baron Sengir dit :
**réfléchit un moment* non, tu as raison en un sens. mais dorénavant orgueil, aveuglement, plongeon dans le devoir pour éviter de voir la réalité en face, je ne souhaite plus que tu laisses l'acédie reprendre force comme elle le fit. si tu te sens replongée dans les affres de l'abandon de toi mesme, parles en. à tes proches, tes frères d'armes, un clerc, moi mesme.


Armoria de Mortain dit :
*Je le ferai, mon père

Baron Sengir dit :
**émet un sourire satisfait* à présent ma fille... dis moi si tu as déjà reçu confession par le passé?


Armoria de Mortain dit :
*Oui, mon père, maintes fois
*Lorsque je suis devenue Duchesse consort de Bourgogne... Je ne voulais pas prendre le risque de faire peser sur la terre que j'aime une âme souillée

Baron Sengir dit :
*ce fut là très bonne décision
*les péchés que tu as confessés naguère te sont déjà pardonnés. cependant...
*... depuis ta dernière confession, as-tu autre chose à me dire, en dehors de l'acédie qui s'empara de toi?


Armoria de Mortain dit :
*J'ai ressenti de la colère, mon père

Baron Sengir dit :
*oh? puis je en savoir plus?


Armoria de Mortain dit :
*De la colère et la haine, à être confrontée aux ennemis de Dieu, et de l'Ordre Etabli... L'envie me saisit de les occire sur place

Baron Sengir dit :
*as-tu beaucoup tué mon enfant?


Armoria de Mortain dit :
**candide* En comptant les hérétiques ?

Baron Sengir dit :
*j'y venais
*adoncques?


Armoria de Mortain dit :
*Hmmm... *cherche*
*Trois brigands - en légitime défense, donc
*Des hérétiques, eh bien...
*Sept sorciers brûlés en place publique lorsque j'étais Duchesse...

Baron Sengir dit :
**retient un sourire en coin*


Armoria de Mortain dit :
*Un décapité lors d'une guerre...
*Un soumis à la question en mes oubliettes - il en est mort, mais nous l'avons évidemment brûlé
**cherche encore*

Baron Sengir dit :
*évidemment

Armoria de Mortain dit :
*Des blessés, ça oui... Mais de mémoire, pas d'autre mort que ceux évoqués

Baron Sengir dit :
*bien
*alors donc
*repens toi pour avoir osté la vie à des enfants de Dieu, ma fille. qu'il en était de ton devoir ne minimise pas que tu as tué des hommes, comme toi
*malgré tout...


Armoria de Mortain dit :
**fronce les sourcils, perplexe* Pourtant, l'on m'a dit que les hérétiques sont des animaux... Doit-on se repentir de tuer des animaux ?

Baron Sengir dit :
*en ce qui concerne les hérétiques, tu as agi en bonne aristotélicienne. l'ennemi de la vraie foy ne doit recevoir aucune pitié
*allons j'allais le dire, impatiente va


Armoria de Mortain dit :
**toute petite voix* désolée
*C'est que, mon père... J'ai un aveu à vous faire

Baron Sengir dit :
*je t'en prie. oui?


Armoria de Mortain dit :
*Je fus païenne... Et lorsque j'ai embrassé la Foy, ce fut sans études
*Le temps, et mes guides, m'ont appris à la ressentir véritablement, mais je suis très ignorante en la matière
*Voyez-vous... *s'agite un peu sur son siège, toujours gênée de parler de cela*
*Lorsque je fus baptisée, ce fut pour ne point mettre un bastard au monde, et non parce que j'avais la Foy

Baron Sengir dit :
**le prestre écoute tout cela les yeux clos* mon enfant, je t'ai entendu. entends moi à ton tour


Armoria de Mortain dit :
**écoute attentivement*

Baron Sengir dit :
*je ne peux blasmer l'hétérodoxe ou la non croyante que tu fus. que tu l'aies porté en fardeau suffit. je ne suis là pour te punir, mais pour t'aider à avancer à trouver le chemin de la vertu. de par ton service auprès de sa très aristotélicienne majesté, de par ce que tu as vécu, de par ce que j'ai ressenti en ce lieu, je puis dire que tu es une aristotélicienne, et non un faux dévot. la note sera juste plus salée... par suite...
*que tu l'avoues est chose dont tu dois estre fière. chacun a chose sur le coeur qui ne le rendent fier. si cette erreur de jeunesse a pu remotivé ta foy, ce n'en est que mieux. maintenant, parlons de ta colère


Armoria de Mortain dit :
**ne pipe mot et se dit qu'elle parlera de la précision de Jeandalf ensuite*

Baron Sengir dit :
*tu dois ravaler ta colère devant les félons et les vils. ton devoir te pousse à les combattre mais tu ne dois laisser la haine t'envahir. sais tu ce qui reste d'arriver? ta colère t'emportera et tu finiras par frapper la paysanne, le prestre, l'ami, le frère d'armes... voire le roy!


Armoria de Mortain dit :
*Ne peut-elle devenir une arme, lorsqu'elle est maîtrisée, mon père, ou est-ce un leurre de Léviathan qui tente de nous faire croire qu'elle est maîtrisable pour mieux nous faire choir ?

Baron Sengir dit :
*en ce qui concerne les ennemis de la foy, tu peux laisser libre cours à ta juste colère. ceux qui ont rejeté le Très Haut, qui combattent le saint gouvernement romain, ceux-là sont damnés et ne méritent que le pal ou le fer. en dehors, si tu ne peux l'étouffer, tu devras t"efforcer de la canaliser. souhaites-tu te réveiller après un accès de rage, ton épée plantée dans le sein royal? tu dois estre prudente. si tu crois l'avoir maistrisée, raffermis encore plus ta prise sur elle. le Sans nom guette


Armoria de Mortain dit :
**songeuse* En somme... Tout est mesure

Baron Sengir dit :
*oui, tu as compris. *regarde la femme d'état et de guerre à travers la grille* as-tu autres aveux à me faire?


Armoria de Mortain dit :
*Celui que je n'ai nulle fierté à avouer que je fus païenne, mon père, mais je me suis gardée de vous interrompre
*Feu le bon Jeandalf n'était pas dupe de ma hâte à vouloir le baptême... Mais tout comme Saincte Illinda, il avait dû sentir en moi que la croyante saurait venir, aussi a-t-il accepté
*En revanche, je me suis promis, par la suite, de faire honneur à son geste en avouant son contexte
*C'est... *geste des mains qui s'élèvent comme pour saisir les mots* comme pour ce germe d'acédie, je crois... Ne jamais oublier mes failles pour n'y jamais tomber

Baron Sengir dit :
*je comprends. *sourit* j'en prends note. et c'est excellente maxime. se croire sans défaut est moyen qu'a le Sans nom pour nous corrompre
*regarde moi. je suis beau, blond, je sens bon... mais je ne suis parfait!


Armoria de Mortain dit :
**ne peut retenir un rire clair qui résonne curieusement dans ce lieu qui ne recueille normalement que des chuchotis*
**pose aussitôt sa main sur ses lèvres, confuse* Désolée...

Baron Sengir dit :
*non, non. puis-je poser question personnelle?


Armoria de Mortain dit :
*Bien sûr

Baron Sengir dit :
*combien as-tu de progéniture?


Armoria de Mortain dit :
*Deux que j'ai perdus avant la naissance, une fille pubère, et le petit-fils du Roy. Un fils dont j'ignore tout, y compris s'il vit encore *voix sourde de la souffrance endurée au quotidien*

Baron Sengir dit :
*oh... tu m'en vois navrée. es-tu bonne mère avec ces deux?


Armoria de Mortain dit :
*Je m'y efforce, mon père. Ma fille vit à Ménessaire et a reçu bonne éducation auprès de feu Monseigneur Gédéon, quant à mon fils, j'ai décidé de l'envoyer vivre en Lyonnais-Dauphiné, afin que de se préparer à la solitude qui marquera sa vie *nouvelle amertume*
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Armoria

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Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458) Empty
MessageSujet: Re: Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458)   Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458) Icon_minitimeMer 15 Sep 2010 - 17:04

Armoria de Mortain dit :
**hésite, puis* J'ai eu un autre enfant, mon Père, encore en vie

Baron Sengir dit :
*oh? mais au ton que tu emploies, dois-je déduire qu'il ne vit avec toi?


Armoria de Mortain dit :
**baisse la tête* Permettez-moi de n'en point dire davantage... L'existence de cet enfant ne doit point être connue, même si je veille à son confort, son éducation et son bonheur

Baron Sengir dit :
**émet une voix rassurante* je ne t'imposerai pas davantage de peine à en parler. ton secret sera gardé, ne t'en inquiète.
*il ne me semble pas nécessaire de te rappeler d'élever tes enfants dans la foy aristotélicienne. dis moi ma fille, as-tu autre péché à confesser au Très Haut et moi mesme?
**songe bien à quelque chose... mais laisse la pénitente s'exprimer en premier*


Armoria de Mortain dit :
**réfléchit profondément*
**Depuis une confession avec le prude Tony, qui n'avait pas osé donner de détails, elle est convaincue que la luxure, c'est le sexe dépourvu de sentiments ; partant de là, elle sait ne pas être pécheresse par la chair*
*Rien qui me vienne à l'esprit, mon père
**la voix est calme et posée, totalement sincère*

Baron Sengir dit :
*j'ai souvenance que tu m'as parlé d'un fils. Un fils qui aurait failli estre bastard. est-ce dire qu'il aurait été conçu en dehors du mariage? ou pire, qu'il est un fruit de l'adultère?


Armoria de Mortain dit :
*Ma fille aînée, mon père
*Celle qui m'a menée au baptême - et je la bénis de ce fait, mon père *sourit*

Baron Sengir dit :
*pardon de cette méprise. tu n'ignores point que la fornication en dehors du mariage aristotélicien est péché. au vu de tes croyances... de jeunesse, je puis comprendre que tu ne suivais la vertu. hormis cela, t'es tu rendue coupable de copulation avec qui n'aurait été ton époux? *dit-il d'un ton se voulant incisif*


Armoria de Mortain dit :
**se récrie* Quelle horreur, non ! C'est mal !
**associe tous ces vilains termes avec ce que Tony lui a dit*

Baron Sengir dit :
*certifies-tu donc que tu n'as pratiqué l'acte de chair qu'avec celui ou ceux qui furent à ce moment précis tes époux, que cela a été fait avec modération et dans le but d'enfanter? *bien peu étaient ceux qui n'avaient rien à se reprocher de ce costé. lui-mesme...*
*le Très Haut sait tout!


Armoria de Mortain dit :
**sourit, candide* Oh, ça oui, l'acte de chair, évidemment... Sans quoi l'on se dessèche comme un fruit oublié... Mais la fornication ? Doux Christos, jamais de la vie !

Baron Sengir dit :
**pause de circonstance, le temps de laisser la fidèle se rassurer, puis, de manière éclatante* qu'entends-je? qu'as tu donc fait ma fille, tu avoues t'estre vautrée dans la luxure, baignée dans le stupre, cela apparemment sans vergogne? tiens-tu donc à ton asme? *gémissement théastral*


Armoria de Mortain dit :
*La luxure ? Mais non, mon père *le regarde au travers de la grille, un sourcil levé, se demandant s'il a des problèmes d'ouïe*

Baron Sengir dit :
*tu affirmes bien avoir pratiqué l'acte de chair? Et cela avec application je présume?


Armoria de Mortain dit :
**totalement perdue* Avec quoi ?

Baron Sengir dit :
**soupir* je reprends mes primes questions. as-tu pratiqué l'acte de chair en dehors du mariage, et dans tous les cas, hors de la volonté d'enfanter? à quelle fréquence de plus?


Armoria de Mortain dit :
**est cette fois totalement éberluée*
*J'ai commis l'acte de chair, mon père, oui, mais la luxure, jamais ! *est tout à fait sûre d'elle*
*J'avais posé la question à feu Monseigneur Tony, et je sais n'avoir point fauté *sourit, heureuse de montrer sa bonne foi*

Baron Sengir dit :
*ignores-tu donc que acte de chair est fornication, est copulation, est luxure, ... *crie presque* est péché!


Armoria de Mortain dit :
**tique, complètement perdue*
*Mais...
*... Monseigneur Tony...

Baron Sengir dit :
*je ne sais ce qu'il t'a dit exactement... mais les choses de la chair sont bienfaits pour le Sans nom, qui peut aisément attirer à la tentation et au péché *pense que le vieil évesque ne considérait péché ce qu'il devait faire allégrement avec sa bonne* songes à ce que tu as fait, et demande toi si tu n'as rien à te reprocher


Armoria de Mortain dit :
**ne sait plus à quel saint se vouer* J'ai aimé, mon père, et ce qui me fut dit, c'est que la luxure est d'user du corps sans aimer l'autre... *relève la tête* Et cela, je vous assure ne l'avoir jamais fait !

Baron Sengir dit :
**air compatissant* Il est bon que tu n'aies usé de ton corps hors de l'amour, sentiment si précieux pour le Divin. Maistu t'es hélas fourvoyée. Hors du sacrement qu'est le mariage, cela est péché. Et mesme en son sein, si le couple reproduit les comportements de la fin d'Oanylone, cela est péché aussi. *tente de rassurer la princesse, qui semble perdue* L'amour ressenti atténue la faute. L'ignorance également. Mais faute il y a. Ce n'est pas un saut à plat ventre dans la luxure, mais une entrée petit pas par petit pas


Armoria de Mortain dit :
**est soudain saisie par la terrible réalité* Vous voulez dire... hors mariage... Rien du tout ? Jamais ?

Baron Sengir dit :
**garde le silence, puis déclare d'une voix complice, d'un ton conspirateur* jamais est un mot si définitif... avoue moi tes fautes, et je te répondrai à ce sujet... si cela reste entre nous


Armoria de Mortain dit :
**est atterrée* Mes fautes... Depuis quand ?
*Je n'ai jamais rien confessé de tel, mon père, j'ignorais mal agir...
**se voit mal faire la liste ici et maintenant, craint pour l'émotivité du prêtre*

Baron Sengir dit :
**songe que cela risque d'estre long* as tu souvenance de quand, avec qui, tu as commis faute? *préfère ne point mander où et combien de fois. il avait son coussin qui amortissait son fondement mais si soif devait survenir...*


Armoria de Mortain dit :
*Oui, mon père. Depuis mon baptême, ou avant aussi ?

Baron Sengir dit :
**anxieux* y en a-t-il tant?


Armoria de Mortain dit :
*Mon père, je viens à l'instant d'apprendre que j'avais mal agi... Quant à dire si c'est beaucoup ou non... *geste de la main pour faire comprendre à quel point elle est perdue* Ce que je veux dire, c'est qu'avant mon baptême, étant païenne, n'est-ce pas...

Baron Sengir dit :
**curieux* oui...?


Armoria de Mortain dit :
*Eh bien... C'était un péché aussi, sans que je ne sois croyante ? Je vivais alors selon d'autres... normes

Baron Sengir dit :
**n'ose interrompre le récit, curieux mais anxieux de ce qu'il pourrait apprendre* il est vrai que tu ignorais tout de la vertu et des vices. mais quelles étaient ces normes dont tu parles?


Armoria de Mortain dit :
*J'aimais mère Nature, mon père. Le feu, l'eau, la terre. Et ce que font les animaux et les plantes pour porter graine... C'était une sorte d'hommage à la vie
*An thol, an dour, an douarn

Baron Sengir dit :
*une sorte de culture druidique, comme en bretagne?


Armoria de Mortain dit :
*J'y suis née, mon père

Baron Sengir dit :
*c'est vrai? j'ignorais *pense qu'il est cocasse d'avoir eu si farouche royaliste née chez ces... ce peuple de... enfin, les adorateurs du chouchen* et a posteriori, as tu commis nombre de vices à cette époque?


Armoria de Mortain dit :
*Hum. Autant que je vous raconte tout dans l'ordre, mon père, vous serez à même de savoir ce qui était mal ou non

Baron Sengir dit :
*je t'en prie mon enfant


Armoria de Mortain dit :
*Je suis arrivée vierge à Tournai, ayant refusé d'être vendue. J'y ai rencontré un homme qui a demandé ma main : noce fut célébrée par le Cardinal Jcaest... Hélas, il n'avait pas fait les vérifications d'usages, et ignorait mon paganisme : quant à moi, ignorant aussi le dogme, je n'y ai rien vu que de très naturel. Feu Jeandalf m'a dit ce qu'il en était lorsque... "l'époux" a disparu pour me protéger d'une maladie qu'il avait contractée
*C'est là que j'ai eu une grossesse interrompue par le choc
*Un soir, alors qu'à peine remise, je faisais ma première sortie, j'ai... un peu trop bu - beaucoup trop - et je m'étais mis en tête que mon ami Sebonemo était cet époux : il était aussi ivre que moi, et nous avons passé la nuit ensemble. Je n'en garde nul souvenir
**décide d'accélérer le récit*

Baron Sengir dit :
**s'éponge, en prévision de la suite*


Armoria de Mortain dit :
*Je fus envoyée comme ambassadrice des Flandres en Bourgogne, et c'est là que j'ai connu *profonde tendresse et chaleur dans une voix amoureuse* Cardinal *voix qui se fait sèche et froide* Archimbaud, et Persan, que j'ai épousé ensuite, baptisée pour de bon.
*Puis Asterius *voix rêveuse et tendre, de nouveau*, le Prince Morgennes, qui m'a épousée *voix neutre*
*Et depuis sa disparition...
*Snell a su faire revivre la part humaine en moi
**atterrée par le nombre, toute petite voix* Voilà...

Baron Sengir dit :
**le blond tiqua. n'était ce pas le borgne que l'on disait infasme?* poursuis donc...


Armoria de Mortain dit :
**réfléchit à ce que lui avait dit Tony, hésite, du coup* Les baisers ne sont point un mal, s'ils sont volés, n'est-ce pas ?

Baron Sengir dit :
*non, à cela, point de vice


Armoria de Mortain dit :
*Alors c'est tout, mon père

Baron Sengir dit :
*bien. *souffle un instant, le temps d'assimiler toutes ces... informations*
*une vie bien remplie à ce que je vois...


Armoria de Mortain dit :
**regarde ses mains avec une intention soudaine*
*Je ne pensais point à mal, mon père... Pour moi, je ne faisais que donner bonheur et amour, et en prendre...

Baron Sengir dit :
*aussi, les seuls époux furent persan en morgennes si j'ai suivi.. je l'entends bien ma fille, mais mesme petites choses semblant sans conséquence peuvent amener à terme aux enfers
*une dernière chose
*l'un de ceux nommés fut-il un adultère?


Armoria de Mortain dit :
**déglutit* Asterius

Baron Sengir dit :
*je vois, je vois... et le premier mariage fut dissolution ou veuvage quant à sa fin?


Armoria de Mortain dit :
*Dissolution
*Persan était mort et enterré, selon nous, du moins... Mais le corps qui était dans sa tombe n'était point le sien

Baron Sengir dit :
*je n'en demanderai pas plus. mon enfant, écoute moi.


Armoria de Mortain dit :
**écoute avec attention*

Baron Sengir dit :
*en prime lieu, te confesses tu de tes péchés de chair? avoues-tu t'estre adonnée à la luxure et à l'adultère?


Armoria de Mortain dit :
*Je le confesse, mon père *sent ses joues la brûler*

Baron Sengir dit :
**hoche la teste* cela est bel et bon. tu as fait le dur premier pas vers la rédemption, l'aveu
*tu devras te rappeler sans cesse que cela est un acte faisant de toi pécheresse, et nécessitant confession sincère
*toutefois *air conspirateur de retour* comme je te disais, il ne faut dire jamais


Armoria de Mortain dit :
*Ah ? *écoute encore plus*

Baron Sengir dit :
*ne le répète pas...
*il est toléré que cela se produise, dans les conditions d'amour que tu as décrites... moi-mesme, je ne fus pas toujours curé. et mesme en tant que diacre... enfin, je m confesserai bien un jour. je disais donc...
*si l'amour est sincère, que d'adultère il n'y ait, cela peut estre considéré comme *à voix basse* un petit péché... *plus haut* mais attention! cela ne veut dire que c'est permis, voire encouragé! cela reste une faute, qui devra estre confessée avec sincérité et foy sous peine de peser dans la balance lors du jugement à ta mort!
*mais il existe certaines choses... l'on est humain n'est ce pas? J'ai moi mesme fort goust pour le vin et les spiritueux... tout comme j'aime mes écus, en avoir bien d'autres et rechigne à m'en séparer. si tu préfères, ce sont petits travers que l'on gardera, mais dont on puit avoir honte... et lors se confesser. mais la rechute est fort probable... me suis-tu?


Armoria de Mortain dit :
*Je vous suis
*Cependant...
*Je ne saurais ne point être totalement honnête lors d'une confession, mon père
*Aussi, je dois vous avouer que dans cette... découverte de ce soir,
*Je n'en suis point encore à me repentir, après tout ce temps à n'avoir nulle conscience de mal me comporter
*C'est une notion qu'il va falloir que... *cherche le mot avec soin* que j'intègre

Baron Sengir dit :
*il te faudra du temps. m'ais j'espère que tu finiras par te rendre compte de tes erreurs passées et que tu n'envisageras plus telles situations avec le mesme regard


Armoria de Mortain dit :
*Certes, mon père

Baron Sengir dit :
*à présent, voici mes conseils


Armoria de Mortain dit :
**penche la tête de côté, comme toujours quand elle se fait attentive*

Baron Sengir dit :
*je ne t'interdis point le péché de chair ; d'ailleirs, je doute que l'interdire ait effet, car tost ou tard... mais songe à ce que tu as appris. modère en tout point ce que... quand ... enfin, modère. conserve comportement adéquat. et bannis l'adultère de ton vocabulaire
*quant à la colère je t'en ai déjà parlé. garde la pour les ennemis de la vraie foy
**ne lui propose de se marier au borgne afin de ne plus pécher. il avait eu aperçu de la famille du personnage, et ne souhaitait pas la voir associée à la pénitente*
*il nous reste deux étapes dans cette confession
*tu as avoué tes fautes, tu as ouvert ton coeur. mais comme tu ne l'ignores, la confession seule ne suffit pas à racheter ses péchés. il faut faire acte de pénitence


Armoria de Mortain dit :
*Si-fait

Baron Sengir dit :
**regarde la princesse au travers du grillage*
*par tes actes de colère, tu ne devras porter la main contre un enfant du Très Haut durant période de deux mois. toutefois, si l'ennemi de la vraie foy se dresse sur ton chemin, n'hésite


Armoria de Mortain dit :
**tique* Mon père... Je suis noble de Bourgogne, et le ban est levé

Baron Sengir dit :
*mmh... alors aussitost le ban levé, cette pénitence prendra effet
*pour t'estre adonné à l'acédie, tu devras jusqu'à la nouvelle année, ne manquer aucun office s'il y en a dans la ville où tu te trouves. Ou au moins, le plus possible
*mesme si tu m'as dit que c"tait ton comportement habituel

Armoria de Mortain dit :
**sourit* Ceci n'est en rien une pénitence, mon père, mais un besoin

Baron Sengir dit :
*c'est plaisir à ouïr
*tu devras, pour ton passé de paienne, faire pélerinage. je ne demanderai point trop loin, simplement, dans le temps que tu jugeras nécessaire, te rendre en chaque ville de Bourgogne prier en l'église locale


Armoria de Mortain dit :
*... de nouveau, donc *réfléchit* Mon père, ce sont là des choses que j'ai déjà faites tout naturellement, en quoi est-ce une pénitence ?

Baron Sengir dit :
*c'est une pénitence car tu as connaissance des actes que tu as commis. tu sais quel poids a été sur ton asme. et je ne veux infliger punition, juste un symbole. je pourrai te demander de le faire à Rome ou dans chaque duché du Royaume... mais je ne suis adepte de trop contraindre. Toi qui as la Bourgogne dans le coeur, tu devras une nouvelle fois y prouver ta foy


Armoria de Mortain dit :
*Entendu, mon père

Baron Sengir dit :
*enfin, pour t'estre rendue coupable de luxure...
**pause avant de reprendre*


Armoria de Mortain dit :
**se mord l'intérieur de la joue*

Baron Sengir dit :
*je ne pense que deux mois de chasteté soient trop sévères, et loin de là, pour... disons, l'intégralité de ton oeuvre...
*de plus...


Armoria de Mortain dit :
**se dit que cela fait bien plus, hélas, qu'elle est sage*

Baron Sengir dit :
*j'aimerais que tu contactes anciens amants et époux
**se tait un instant, pour entrevoir réaction*


Armoria de Mortain dit :
*Cela fait peu, hélas, mon père

Baron Sengir dit :
*aux vivants déjà, j'aimerais que tu déclares t'estre rendue compte du péché que tu commettais avec eux, et les enjoindre à entrer en confession pour le salut de leurs asmes


Armoria de Mortain dit :
*Asterius... a disparu Dieu sait où... Ne restent que Snell et Cardinal

Baron Sengir dit :
*aux morts... as tu pour chaque membre de la famille à t'adresser?


Armoria de Mortain dit :
**réfléchit*
*Non, mon père

Baron Sengir dit :
*je vois... pour ceux à qui tu puis trouver, je désirerais que tu leur dises souhaiter que ce péché commis entre le défunt et toi n'a point empesché son asme d'accéder au paradis solaire


Armoria de Mortain dit :
*Le fait de ne pouvoir contacter aucun de leur proche peut-il être compensé par de sincères prières en ce sens ?

Baron Sengir dit :
*certes. mais je compte sur toi pour ne pas bouder proche dont tu as connaissance pour cause de brouille avec l'ancien amant


Armoria de Mortain dit :
*Certes non, mon père
*Je ne connais que Juliette, la soeur d'Asterius

Baron Sengir dit :
*les autres n'ont famille? et morgennes n'est il fils de sa majesté? ne pas oublier snell dans le lot non plus


Armoria de Mortain dit :
*Enfin, mon père, Morgennes était mon époux ! Nulle faute commise avec lui ! *repart dans l'univers de la perplexité*

Baron Sengir dit :
*oh! *sourire confus* bien, rien à avouer au roy en ce cas
*bien, ferme les yeux mon enfant


Armoria de Mortain dit :
**obtempère*

Baron Sengir dit :
*ma fille, tu as avoué tes fautes, devant moi, et devant le Très Haut. tu as sincèrement reconnu tes péchés et en fait pénitence, ou consens à agir en ce sens
*tu t'es engagée à effectuer actions de pénitence pour expier de tes erreurs
*aussi, je t'absous de tes péchés, mon enfant. tout ce que tu as avoué est désormais lavé de ton asme, par le sacrement de la confession. cela ne pourra t'estre reprochée lors du jugement après ta mort.
*tu puis ouvir les yeux mon enfant. Le Très Haut te pardonne


Armoria de Mortain dit :
**reste ainsi un instant, le temps de se pénétrer des paroles et de se recueillir, puis rouvre les yeux*

Baron Sengir dit :
*te sens-tu mieux à présent?


Armoria de Mortain dit :
*En partie, mon père
*Voudrez-vous lire les missives que j'enverrai ?

Baron Sengir dit :
*il me plairait


Armoria de Mortain dit :
*C'est entendu

Baron Sengir dit :
*agis comme je l'ai déclaré et reviens prochaine fois si tu ne te sens mieux


Armoria de Mortain dit :
*Je m'y engage, mon père... Et mes serments ont toujours du poids

Baron Sengir dit :
*je suis heureux de l'entendre. sache que tu trouveras toujours oreille et épaule


Armoria de Mortain dit :
*Merci mon père

Baron Sengir dit :
*va en paix ma fille. ne laisse plus le trouble obscurcir tes pensées


Armoria de Mortain dit :
**se signe et se lève* Merci de m'avoir entendue

Baron Sengir dit :
*je t'en prie. à bientost ma fille


Armoria de Mortain dit :
**sort du confessionnal, s'apprêtant à quitter l'église, mais avant...* Mon père ?
**lui tend une bourse rondelette, assez pour être généréuse, pas trop pour ne pas sembler écrasante* Pour vos oeuvres
**bourse vanillée d'avoir passé tout ce temps dans un chaud giron, il va de soi*

Baron Sengir dit :
**fait les yeux ronds. ma foy, il ne fallait freiner l'élan d'une pénitente en plein effort de reconqueste de la foy* sois en remerciée. *note une bonne odeur... c'était à noter, de la part du beau blond qui sentait bon* tu seras toujours la bienvenue au presbytère


Armoria de Mortain dit :
**le salue d'une inclinaison de la tête et sort, cette fois*

Baron Sengir dit :
**lui rend son salut et reste méditer sur tout ce qu'il venait d'entendre. il avait de quoi.*


Armoria de Mortain dit :
**revient sur ses pas* Mon père ?

Baron Sengir dit :
**lève le menton* plaist-il?


Armoria de Mortain dit :
*J'oubliais de vous dire que pour protéger ma fille d'un odieux chantage, j'avais jadis fait aveu public de mes... aventures d'avant mariage

Baron Sengir dit :
*l'on vous avait menacé de les révéler ou votre fille en pastissait? diantre, quelle horreur... comment cela a fini?


Armoria de Mortain dit :
*Le sujet du chantage était justement le nom de ces hommes, et mes liens passés avec eux... Les révéler en public a désarmé le maître chanteur, qui voulait me faire prendre ma fille - non encore née - par l'Eglise

Baron Sengir dit :
*cela a dû estre dur. y a t-il eu suite?


Armoria de Mortain dit :
*Non point. A présent, je me dois de vous laisser
*La bonne journée, que Dieu vous garde
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Confession dijonnaise (samedi 11 septembre 1458)
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