Fête : les joutes

Archibaldane assiste aux joutes discrètement, dans son petit coin. Elle aperçoit la jeune fille qui doit être l'enfant de la duchesse et se dit que ces enfants à elle sont dans le cas de cette petite : sans père... Quelle étrange destinée... "Au fond, les enfants des grands de ce monde sont comme les autres", songe-t-elle, "...il leur arrive aussi d'être orphelin..."

Archibaldane soupire dans un coin. Ses enfants sont avec Emeline, sa gouvernante, qui l'a suivie, au domaine de la Rochepot, cette ferme forte qu'elle vient d'acquérir. Au moins, là-bas, sont-ils en principe en sécurité...

Lorsqu'elle aperçoit Wolfar remonter en selle, elle a envie de l'encourager, mais elle préfère se taire... Toutefois, à un moment, il tourne la tête vers les tribunes... Alors, elle fait un chaud sourire amical... Il est comme elle, ou elle est comme lui : ancien mâconnais !

Armoria avait un bref instant serré Ariadne dans ses bras, heureuse de la revoir, puis s'était baissée pour déposer un baiser sur le front de sa fille.

Ariadne, c'est une joie de vous voir. Voici donc ce fameux frère, fit-elle non sans malice. Enchantée, messire... A voir vos regards, j'ai l'impression que vous avez hâte de retourner à la quintaine.

Carmo huasse imperceptiblement un sourcil a l'appellation de fameux frere, il faudrait u'il se renseigne sur ce qu'Ariadne avait bien pu dire sur son compte. Mais comme l'avais si justement remarquer la duchesse, il lui fallait aussi retourner affronter la quintaine.

Ah serai je donc deja un livre livre ouvert pour vous alors que l'on se connait que depuis quelques minutes. C'set effectivement un dillemne pour ma personne de devoir choisir entre armes et belles dames.

Il sourit inocement

Je me ferais fort de revenir vers vous une fois la joute achevée et peut etre meme pourrais je montrer que tout les dires de ma soeur ne sont pas exagerés sur ma personne.

Il s'inclina de nouveu devant les dames.

Je vais vois laisser entre vous et rejoindre mes concurent pour le plaisir de vos yeux.

A ces mots, Carmo se retira et laissa sa soeur, son hotesse et la fille de celle ci pur retrouver son monture et les jeunes pages qui l'aiderent a parer opour les epreuves a venir.

Lève les yeux au ciel

Je n'ai rien dit de mal sois sans crainte tit démon ! File donc te préparer au lieu d'imaginer tout et n'importe quoi sinon mon seau t'attendra à ton retour !

Elle savait l'argument ravageur et le regarda en souriant se diriger vers la tente qui lui était allouée pour se préparer puis se retourna vers Armoria

Pour moi aussi c'est un plaisir de vous revoir mon amie, et qui donc est la ? Ne serait-ce point la jeune Loreleï ?

Etant plutot grande pour une femme, Ari s'accoupit pour être à la hauteur de l'enfant qui de ce fait, la dépassa d'une petite tête et en souriant, les yeux pétillant de malice, lui dit...

Suis-je dans l'erreur jeune damoiselle, ne seriez vous point, par le plus pur des hasards, la grande fille de mon meilleur ami et de la dame ici présente dont vous tenez la main la main ?

Un jeune garçon circula :

Oyez, oyez ! La première course va se jouer entre deux quintaines ! Rendez-vous sur le le lieu de la course !

Armoria s'excusa auprès de ses invités.

Ah, je crois que c'est à moi... A plus tard, sauf si vous venez voir la course !

Jazzette accompagnée de Jo s'était dirigée directement vers le parc où se déroulaient les joutes ... Elles étaient impatientes de voir les performances de leurs époux et fiancé. Le temps semblait clément et elles arrivaient juste pour l'appel de l'épreuve de l'anneau. Heureusement, George et scan n'avaient pas encore commencé.

Humm .. elle ne connaissait pas les jouteurs .. Elle s'adressa à sa nièce , toujours très au fait des beaux messieurs ..

Jo !!! Connais tu les messires que nous voyons ?

[i]Cherchant alentours leurs chers et tendres quand elle entendit Armoria.

Vinkolat referma son heaume à l'appel de son nom, regrettant un court instant le moindre inconfort de l'armure italienne qu'il avait laissé à Gisors lui ayant préféré celle qu'il portait lorsqu'il était Connétable et Capitaine de Normandie. Si le bijou laqué de noir était plus commode à porter et bien plus ostentatoire, on ne pouvait dire qu'il lui avait porté chance durant les joutes de début d'été, et, à vrai dire, il s'était lassé de cet étalage de luxe qui ne convenait pas réellement à son caractère.
Penchant la tête de côté dans un bruit métallique, il s'assura que le ruban vert, don de la Dame dont il porterait les couleurs pour cette joute, était toujours bien attaché à son bras : curieusement, afficher celui-ci lui plaisait, ... et il n'osait espérer qu'il lui porterait chance, trop conscient hélas de ses piètres performances habituelles en lice.

Il détestait l'épreuve de l'anneau, foncièrement, -un exercice d'adresse qui n'avait rien de guerrier ni viril à ses yeux, mais il fallait passer en par là pour poursuivre.
Aussi adressa-t-il un salut de la main à Mariette son écuyère, et talonna-t-il son étalon pour le lance vers la lice et cette épreuve désagréable.

"C'est pas vrai! La peste soit du fat! Par la barbe d'Aristote, aurais je perdu la chance a ces jeux?!"

il s'elança une seconde fois il réussi a attraper l'anneau mais il savait qu'il aurais des difficulter a se qualifier

La dame avait dit qu'elle était grande ! C'était mieux que le monsieur en armure de tout à l'heure. Donc, Ariadne eut droit à un sourire radieux.

Si, je suis Loreleï d'Ylfan. On va regarder ma maman courir ?

Emue par le sourire de la fillette, Ari lui fit une mimique qui relevait de la grimace plus que du sourire puis se relevant lui tendit la main...

J'étais sure que je ne me trompais pas ! Tu lui ressemble beaucoup ainsi qu'a ton papa, il y a un portrait de toi et de ton petit frere Ethan dans le bureau, la ou je travaillais avec lui. Je t'accompagne voir ta maman courir puis si tu veux bien nous reviendrons ici regarder mon frere essayer d'attrapper les anneaux.

Puis s'accroupisssant a nouveau, chuchota a la fillette "à moins que tu ne connaisses un endroit secret d'ou l'on pourrait regarder les deux en meme temps ?" regarde autour d'elle puis avise un grand arbre dont les premieres branches étaient basses, les yeux rieurs continua... "comme ce grand arbre par exemple, qu'en penses tu ? crois tu que tu réussisses a grimper si je t'y aide ?"

Elle s'était deja fait une idée du caractere de l'enfant, elle meme était mère de 3 diablotins facécieux, enfin, diablotin, l'ainée de ses filles était mariée, mais qu'importe pour une mere quelque soit l'age, les enfants étaient toujours petits. Bref, elle était presque certaine que l'enfant reléverait le défi à peine voilé.